Xavier Bonnefont référent régional Horizons de Nouvelle-Aquitaine et maire d’Angoulême répond à nos questions !
1) Racontez-nous le jour où vous avez décidé de vous engager en politique.
Je n’ai pas de souvenir précis de ce moment, car l’engagement en politique a toujours fait partie de ma vie… Petit, j’assistais le soir au conseil municipal de mon village dans lequel siégeait mon père. Ce que je peux dire, c’est que je me suis, de tout temps, passionné pour la chose publique.
C’est en 2002 que cet engagement s’est véritablement concrétisé : j’ai vécu l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle comme un choc et un appel à l’engagement républicain. J’ai ainsi choisi d’adhérer à l’UMP dès sa création.
2002 est une année charnière pour moi puisqu’elle marque également la fin de mes études de droit public et mon entrée dans la vie active aux côtés de Jean-Pierre Raffarin, alors président du Conseil régional de Poitou-Charentes. Un engagement que j’ai poursuivi ensuite au sein du cabinet d’Elisabeth Morin-Chartier, qui lui a succédé.
2) Quel fait politique vous rend le plus fier ?
Mon élection de maire d’Angoulême en 2014. Ce fut le résultat d’un travail colossal sur le terrain, directement auprès des Angoumoisins, grâce à la mobilisation de toute une équipe, des militants UMP bien évidemment, mais également de l’association « Générations Angoulême » créée pour l’occasion qui, aujourd’hui encore, mobilise ses forces pour faire avancer notre territoire.
C’est à travers cette élection que j’ai pu mettre en pratique une méthode qui est la mienne depuis toujours : concertation, écoute et co-construction.
Depuis 2020, nous sommes collectivement contraints d’évoluer dans un climat anxiogène qui peut finir par provoquer lassitude et morosité.
En tant que maire et président d’agglomération, j’estime avoir un devoir d’optimisme, seul tremplin efficace à l’action. « Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté » disait Alain.
Optimiste ne signifie pas, pour autant, qu’on ne sache pas regarder les choses qui ne vont pas bien. C’est remettre les choses en perspective et c’est surtout faire le nécessaire pour avancer.
3) Pourquoi Horizons ?
Mon engagement chez Horizons est d’abord et avant tout une adhésion à la personnalité et aux idées d’Édouard Philippe. Sa marque de fabrique, c’est s’engager là où l’on est certain de pouvoir agir.
Être à ses côtés, c’est refuser les discours populistes qui font naître l’espoir dans un premier temps et le désespoir dans la foulée ! C’est refuser les postures mensongères qui dénaturent la démocratie !
Horizons, c’est aussi un parti qui me ressemble, ancré dans les territoires, qui s’appuie et se nourrit des préoccupations réelles et légitimes des Français, à l’image des maires qui le représentent.
